Municipales 2020 : Gérard Subercaze de la liste "Unis pour Luchon" à la rencontre des socio-professionnels
La liste "Unis pour Luchon" menée par Gérard Subercaze se dévoile, semaine après semaine. A ce jour, nous connaissons déjà six de ses co-listiers : Cécile Percie du Sert, Jean-Paul Ladrix, Claude Lebourgeois, Didier Le Page, Margaux Casteran et Nathalie Schnotz.
Deux autres noms devraient être dévoilés en fin de semaine…
Une liste qui a désormais son local de campagne au 11, rue Carnot, sa première affiche, son premier flyer et sa première rencontre programmée avec les socio-professionnels du territoire.
Une réunion qui devait avoir lieu vendredi soir mais, comme au même moment doit se dérouler la réunion publique de l’Association Bagnères de Luchon Santé (lire ici), il a été décidé d’avancer cette rencontre à jeudi, à partir de 19h30, au Métropole.
"A l'écoute et accessible, je respecte toutes les opinions et je crois aux vertus du dialogue. J’ai la conviction que Luchon a besoin d’un maire et d’une équipe municipale qui réunissent la population au lieu de la diviser. Luchon attend un maire qui soit proche des habitants, à qui l’on puisse parler facilement en cas de besoin, d’un maire qui donne la parole à tous et qui sache écouter. Je pense avoir les qualités qui me permettraient d’être celui-là.
Voici le mot de Gérard Subercaze que l'on peut découvrir sur le flyer de la liste "Unis pour Luchon".
"Chef d'entreprise, j’ai toujours été animé par la volonté de faire et le goût des nouveaux projets. Je ne souhaite pas vous proposer des slogans, des images de synthèse ou des projets qui ne seront pas réalisés.
"Je veux que Luchon avance, concrètement et pas simplement en parole.
"Soyez-sûrs que je mettrai mon pragmatisme et ma ténacité à faire réussir notre projet de ville et à améliorer la vie quotidienne de tous.
"Luchonnais et engagé, j’ai des valeurs et je suis viscéralement lié à notre ville et à son pays ; je suis attaché à la solidarité et à la qualité de la vie ensemble, au sein de notre communauté.
"Je sais les difficultés de Luchon mais je crois en ses atouts, trop peu exploités. La ville continue de perdre sa population depuis trop longtemps (2900 en 1999 et 2324 en 2016) mais je ne suis ni nostalgique, ni fataliste.
"Nous devons aller de l’avant et ne pas nous laisser niveler par le bas."