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24 Mar

Meurtre de deux professeurs près de Tarbes : le corps retrouvé en Espagne est bien celui de Cédric Tauleygne

Publié par Paul Tian  - Catégories :  #Cédric Tauleygne, #Aurélie Pardon, #Gabriel Fourmigué, #assassinat, #double meurtre, #enseignants, #Pyrénées, #Tarbes, #Pouyastruc, #découverte d'un corps, #suicide, #guardia civil, #police, #enquête, #autopsie, #FaitsDivers

(Photo illustration : Facebook @Guardia civil)

(Photo illustration : Facebook @Guardia civil)

Dimanche dernier, au cours d'une battue, un chasseur a découvert le cadavre d'un homme, près de Jaca, en Aragon (Espagne), qui pouvait être celui de Cédric Tauleygne, le principal suspect dans le double meurtre des enseignants à Pouyastruc, près de Tarbes. Une carte d'identité nationale et un permis de conduire au nom du suspect ont été retrouvés sur le corps, ainsi qu'une arme de poing (lire ici).

Jeudi matin, les autorités espagnoles ont pratiqué l'autopsie du corps. Un autopsie qui a conformé  le suicide de Cédric Tauleyne, qui s'est tiré une balle dans la tête.  L'identification de l'assassin des deux professeurs a pu être faite grâce à l'analyse des dents, précise "France Bleu Béarn Bigorre".

Depuis le double assassinat des enseignants, les enquêteurs privilégiaient le suicide de Cédric Tauleygne qui avait pris la fuite à moto. Une moto qui avait été retrouvée près de la ville de Bernués, dans la région de Huesca, de l’autre côté des Pyrénées (lire ici).

Rappel : 

Cédric Tauleygne, 34 ans, ancien réserviste de la Gendarmerie française et du 35e régiment d’artillerie parachutiste de Tarbes, a abattu sa femme, Aurélie Pardon, une professeure de Français de 32 ans, avec laquelle il était en instance de séparation, et Gabriel Fourmigué, professeur d'éducation physique et sportive, âgé de 55 ans, après les avoir trouvés ensemble le 4 juillet 2022, dans une maison à Pouyastruc, près de Tarbes, dans les Hautes-Pyrénées.

 

(Photo : capture écran Heraldo de Aragon)

(Photo : capture écran Heraldo de Aragon)

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La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité (Albert Camus)