Chronique. Soixante ans plus tard, les migrants d'aujourd'hui me rappèlent mon exil d'hier
Dans les méandres tumultueux des réseaux sociaux, là où la haine s'exprime avec une véhémence parfois déconcertante, émerge incessamment une interrogation, un écho lointain de mon propre exil, gravé dans les annales de mon enfance, il y a plus de soixante ans. En remontant le fil du temps, se dessine le portrait d'un jeune esprit, à peine âgé de douze ans, voguant dans les eaux incertaines de l'ailleurs. Le sentiment d'exil, embryonnaire et éphémère, se trace dans le sillage d'un départ douloureux de l'Algérie, la terre natale, ballotée par les tumultes de l'Histoire.
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(Photo de engin akyurt sur Unsplash)