Près de 70% des animaux sauvages ont disparu en 50 ans : "la nature a besoin de nous", signons l'appel de WWF
Le dernier rapport "Planète vivante" publié par l'Organisation non-gouvernementale WWF vient rappeler l’ampleur dramatique de la perte de biodiversité dans le monde, notamment à cause du changement climatique.
Cette année, les résultats sont à nouveau alarmants : entre 1970 et 2018, les populations mondiales de vertébrés, oiseaux, poissons, mammifères, amphibiens et reptiles ont décliné en moyenne de 69%.
Gorilles des plaines, tortues luth, dugong, requins, coraux… les icônes de la biodiversité aussi précieuses qu’indispensables à l’équilibre de nos écosystèmes diminuent à un rythme alarmant.
A cette occasion, WWF France présente ses recommandations et lance un appel pour inciter les gouvernements à inverser la tendance lors de la Convention sur la diversité biologique COP15.
"Nous avons le pouvoir de changer les choses. En signant notre appel, vous agissez à nos côtés pour mettre fin au déclin des populations d’animaux sauvages.Mobilisons-nous pour faire pression sur les responsables politiques afin qu’ils prennent les mesures nécessaires pour conserver la biodiversité et protéger le climat :"
- Pour signer l'appel de WWF France, "Pour une planète vivante", cliquez ici
- Pour lire le rapport "Planète vivante 2022 ", c'est ici
Si nous ne parvenons pas à limiter la hausse à 1,5 °C, le changement climatique deviendra la principale cause de perte de biodiversité au cours des prochaines décennies
Entre 1970 et 2018, 69% des poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles ont disparu